Revue littéraire L’Eau-forte n^o8

Ondes

Miroirs et reflets

Gravures d’Hercule Seghers, Claude Mellan, J.-F. Blondel. Photographies originales d’Öznur Baycan. Ouvrage collectif. Revue littéraire L’Eau-forte.

52 pages, 137×210 mm.
septembre 2019 | 9782491181031

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10,00 €

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Dans la langue poétique, les ondes désignent la surface d’une eau : source, lac, rivière, surface irisée ou calme où se reflète le ciel. Pour la physique moderne, la matière solide est elle-même l’illusion d’ondes corpusculaires, dont l’agitation est à l’origine des formes.

Au xviii^e siècle, Franz-Anton Mesmer avait imaginé un fluide circulant entre macrocosme et microcosme, c’est-à-dire entre monde céleste et le monde animal. Pour les penseurs de l’antiquité, les rotations des astres commandaient la vie des êtres sublunaires, en les soumettant à ces sortes d’ondes périodiques que sont les saisons, les marées, les nuits.

Reflets, périodes et rythmes de la vie microcosmique sont ici saisies sous le nom d’Ondes : cette thématique convoque, dans ce huitième numéro de L’Eau-forte, les réflexions d’écrivains, de poètes et d’artistes sur les phénomènes lumineux et vibratoires.

Sommaire

Hubert Haddad : « De Pompéi à Venise »

Jean de Meung : « Les Miroirs »

Jane Sautière : « Pluies »

Edgar Allan Poe : « Révélation magnétique »

Israfil Dough : « Hommes blancs, hommes diaphanes, miroirs »